AllStarWar
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 DALLAS WARERICKS

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iabus

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MessageSujet: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMer 7 Jan - 19:01

Le journal de la ville de E-Cola corporation !

Jeu de rôle à Dallas comme dans tout l’univers NBA à l’approche de cette saison 208/2009 ! Dans cette grande redistribution des cartes, ici, Cuban n’est plus l’unique et seul maître à bord puisque les activités relatives au GM ont été attribuées à un certain iabus. Petite rencontre avec un fan des plus grands rivaux des Mavericks des 2000’s, j’ai nommé, les Spurs !DALLAS WARERICKS SprunkAvec E-Cola, la vie est plus sympa
Premier contact difficile. En arrivant dans cette satané ville de ploucs du Texas, connue pour sa production sans comparaison possible des plus gros crétins de la terre (JR, la famille Bush…), je me suis assez vite senti étranger à ce décor. Receptionné à l’aéroport par un « coach personnel » envoyé par la franchise, ce cours moment de réconfort allait vite se transformer en calvaire lorsqu’il me fit entrer dans ce qui était mon tout 1er magazin de fringue des States. J’avais encore plein de rêves d’ados en tête avec la vision Eldorado de ce pays en ce qui concerne les vêtements (Dernières niques pas chères, Jersey introuvables…) lorsque je tombais nez à nez avec ce qui devait être mon futur accoutrement conseillé pour ma première rencontre avec le propriétaire.DALLAS WARERICKS Cowboy3bMe voilà « sapé » et en route pour l’American Airlines center. Si le chapeau proposé par le coach personnel fourni par la franchise me protégeait bien du soleil brûlant, au fur et à mesure que je montais les marches jusqu’au bureau de Mark, je sentais de plus en plus le jus qui ne manquait pas de circuler dans la paire de tiags prêtée par ce même coach. Je me sentais vraiment de plus en plus blaireau, peut être était-ce que je commençais à m’intégrer ? Surtout que lorsque j’eut passé le pas de la porte, je vis 3 ou 4 collaborateur ayant probablement reçus les mêmes conseils que moi. Ce coach personnel est un blagueur non ? C’est de naissance vous ? Non, c’est … de père en fils ? Ahhhhh ok… (le séjour va être long, heureusement que c’est bien payé).
C’est alors que je reçu une violente tape dans le dos qui faillit renverser ma Bud (ba oui ya que de la pisse aux States). Heureux je me retournais en pensant retrouver un vieux pote mais c’était … mon boss (?). Lui par contre avait laissé la tenue de plouc de rigueur au vestiaire et se baladait en T-shirt/basket. Je me dis que ce n’était donc pas cause perdue mais lorsque je levais ma main pour taper à mon tour sur l’épaule de ce personnage aux allures simples, celle-ci fut saisie par le coach p qui me jeta un regard explicite. Je compris donc que seul Cuban pouvait se la jouer cool. Et oui car avec un peu de vécu je peux dire aujourd’hui qu’être cool pour Cuban c’est être cool avec soi-même et chiant avec les autres. Tout un concept.
Voila que commençait la chose la plus difficile. Expliquer à ce personnage qui ne s’est jamais vu refusé grand-chose que les règles du jeu avaient changé et qu’il n’était plus possible de recruter en allongeant bêtement les billets. Non pas que son recrutement était mauvais puisque ce dernier a tout de même transformé l’une des franchises de loosers attitré de la NBA en écurie de post-saison mais le fait est qu’avec une telle masse salariale, les Spurs en seraient probablement à leur 6ème titre en 6ans.DALLAS WARERICKS 3827957963a4307391184b554000956mReste que cet homme est l’un des rares propriétaires à s’investir autant côté sport. Cela me permit donc de lui faire comprendre que la conséquence première serait une baisse assez logique de la compétitivité de l’équipe. L’objectif premier d’aller voyager en PO restait d’actualité mais il faudrait peut être oublier les rêves de finale au moins le temps d’effectuer ce virage de dégraissement. Cet acquis en poche, venait la prochaine étape : Où allons-nous ? A cette question simple, une réponse simple s’imposait d’elle-même : Où les autres le voudront ! Je crois d’ailleurs que c’est à ce moment que j’entendis le bruit d’un élastique de slip se craquer. Mais cela était pourtant vrai. Dallas est une équipe qui ne m’inspire pas un cachou :
Dans une première étape, il fallait laisser de côté les critères proprement sportifs pour ne s’occuper que de la partie financière. cela était non seulement moins motivant mais surtout pas en adéquation du tout avec le roster actuel. Ce dernier est déjà équilibré en âge, en poste, en compétences, talents, dans le 5 majeur, sur le banc… etc…, cette équipe ne demande que quelques petits ajustements à la marge. Pour savoir où il fallait trancher, il fallait donc que je voie quelles étaient d’abord les solutions les moins préjudiciables. Puis ensuite, une fois le budget assaini, on pouvait se pencher sur l’équilibre et la nature des forces en présence afin d’essayer d’obtenir quelque chose ayant un peu de gueule en ayant la possibilité de négocier yeux dans les yeux avec la concurrence. Bref pas le projet le plus reluisant à soumettre à son parton.

Nous verrons comment ça évolue mais si vous vous faites du soucis, buvez un coup de Sprunk et n’oubliez pas notre jeu pour gagner plein de T-shirt ! DALLAS WARERICKS Burgershot2
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iabus

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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyJeu 15 Jan - 13:17

TOP DEPART
Mini point avant le début des choses sérieuses !


L’équipe commence à ressembler à ce qu’elle devrait être et la saison va bientôt commencer !

Nous ne reviendrons pas sur la pré-saison puisque les résultats en eux-mêmes ne sont pas très intéressants (victoire 76ers, défaite NY…) et que la manière de gagner ou perdre n’a plus vraiment de sens puisque l’effectif n’est déjà plus le même et devrait poursuivre sa mutation même si la cadence des mouvements devrait s’atténuer.

Par contre nous ferons un rapide tour des échanges opérés sur le marché. En effet, il n’a suffit que de 2 trades pour que Dallas abandonne son mode de gestion à la New-Yorkaise (même marge supérieure à 18M !). Les finances assainies, le GM est maintenant prêt à construire une équipe en ne se préoccupant que du côté sportif. Résultat des courses pour revenir dans le vert ?
Un carnage sans pitié qui me rappelle que je ne suis pas l’homme de la situation s’il s’agit de récupérer du pognon avant tout. En effet, cette motivation première est très loin de ce qui peux me servir de moteur dans une transaction. Aussi je n’étais pas très étonné si après 2 grosses opérations je me retrouvais avec un triplons en pivot (Camby / Dampier / Lopez), un franchise player disparu en AF (Nowitzki -> Bass), un seul AR (McCants) et un multiplons sur l’aile (J.Howard, Maggette, Thornton, A.Wright, Cardinal, S.Williams). Seul le poste de meneur était équilibré mais on notait tout de même la disparition de Jason Kidd…
Au lieu d’agir au plus rapide avec 2 gros trades, il aurait certainement été plus avisé d’opérer moult petits trades, récupérant 1 ou 2 M par ci par là. M’enfin quelle galère personnellement. Et puis quand on voit le roster des Knicks dont le Gm a lui, opéré un bon paquet de trades, on se dit que tant d’efforts pour un résultat aussi quelconque n’était peut être pas non plus la meilleure marche à suivre.

Me voilà donc avec une équipe presque dans le vert (251 000 de trop) avec des rééquilibrages à opérer. Le plaisir pouvait enfin commencer. Premier trade et 1er dilemme : Conserver le niveau de mon 5majeur qui me permettait d’aller assez sûrement en PO ou renforcer l’avenir afin de viser plus haut à long terme en augmentant le risque de ne pas jouer au basket cet été ? L’option No2 a été prise et Dallas au roster de finaliste de conférence est donc passé a donc rabaissé son objectif à passer un 1er tour pour finalement viser tout simplement une participation en PO.
Actuellement, la raquette est au même niveau que par le passé voir meilleure vu la rotation. Les postes AR et MJ sont aussi ok bien que Maggette serait probablement plus à l’aise sur l’aile. Le banc, lui est équilibré, de bon niveau et assez profond. En fait la plus grosse baisse se situe sur l’aile ou on passe d’un ailier allstar à un sophomore ultra prometteur mais qui a encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’assurer une production à la Josh Howard.

To be continued avec les prochains trades et une présentation de la team lorsqu’elle sera à peu près consolidée.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMar 20 Jan - 17:02

boulet 2008 : Un air de galère boulet



Content que Dude me contacte par mail, je l’étais moins lorsqu’on m’annonça la reprise des Knickerbockers du Texas et accessoirement anciens rivaux de San Antonio, mon équipe de cœur. Après plus de 18 millions de dollars d’économisés et un roster amoindri, voici que la saison pointe son nez et que les Mavs semblent avoir tout de même du répondant pour accrocher un wagon en PO. Expérience qui devrait s’avérer cruciale pour une équipe pas encore finie mais qui semble déjà plus apte pour les exercices futurs que celui en cour. Enfin tout cela c'était sans compter sur l'univers impitoyable de Dallaaaaaaas.

Si en l’état, l’équipe est déjà quasi prête pour cette saison, reste que parmi les quelques modifications que je souhaiterais apporter afin d’être encore plus mordant par la suite quitte à perdre encore un peu sur cet exercice, il y avait la présence d’un intérieur capable d’évoluer en 3e pivot ainsi que celle d’un back-up de back-up à la mène. On ne parle ici que de 5èmes couteaux et pourtant ! Il n’aura fallut que 5 matchs (4 défaites et une victoire) pour que les 2 seules faiblesses actuelles soient mises à jour. Et de quelle manière !
slap 1er match et un 1er pivot titulaire sur le flanc. Brook Lopez, enclin à former l’une des raquettes les plus redoutées de la NBA en compagnie de Chris Bosh, n’aura pas trop eut le temps de faire ses armes puisqu’il rejoint l’infirmerie pour 3 semaines. En son absence, nous perdrons le match suivant de très peu alors que Dampier faisait son entrée « automatique » dans le 5 et que l’équipe n’avait donc plus de back-up en pivot. Un rien rageant.
slap 2/3 matchs plus tard, alors que Mike Bibby réalisait un début de saison tonitruant, il se blesse à son tour pour 11jours. N’ayant toujours pas réalisé de trade relatif à la profondeur de mon banc car trop occupé à trouver celui ou ceux qui pourront soutenir Bosh dans le temps, c’est donc tout « naturellement » que Nicolas Batum ira jouer les pompiers de service sur le poste 1.

Un rookie propre à cartonner sur le flanc. Le leader de l’équipe qui le rejoint. Et voici une équipe au potentiel déjà bien entamé par une gestion en mode Cuban, réduite à faire jouer Batum à la mène ptdr et à présenter une raquette ultra light composé de Thornton et Bosh soit un duo de 2,05m et 102kg party Comparé aux Suns avec leurs 2,12m et 130kg de moyenne, ya de quoi se faire enfoncer… Tiens c'est marrant puisqu'on doit les rencontrer 3 fois en l'espace de 2 semaines, toujours en l'absence de brook. arf Quand on a la guigne...
Heureusement que le solide, rugueux mais trop cher, Erick Dampier a su rester fidèle (bizarre ça quand même) car ses quelques baffes distribuées in the paint limiteront le nombre d’hémorroïdes récoltées suite à ce début catastrophique.



Présentation de l’équipe toujours à suivre, dès que je serais un peu plus sur de la longévité texane de mes recrues.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMar 20 Jan - 19:59

QUOI, MA GUETE ? QU’EST-CE QU’ELLE A MAGGETTE ?
Enquête sur un inconnu de plus de 9ans et le starsystème NBA en général



Maggette et la AllStarWar

Après un Nième refus de trade pour délit de sale gueule, on peut tirer ce triste constat : Maggette n’est pas apprécié des GM évoluant sur AllStarWar (et ailleurs en général). La raison principale ? Apparemment une simple méconnaissance. Cette même ignorance qui fait et défait la hype, les buzz. Celle qui est conduite par une logique 100% US et NBA où il faut être le first ou le worst mais certainement pas au milieu.


L’absence de, le manque de, pas trop et pas assez de…

En NBA, il vaut mieux être le meilleur des nazes qu’un 2nd couteau chez les moyens. Il n’y a que 2 autres manières d’exister sans être le leader de sa propre équipe. C’est soit de figurer parmi ceux qui voyageront longtemps sous les spots télés des PO, certains comme Horry en ont même fait toute une carrière alors qu’en saison, il n’a jamais vraiment été un killer même si très correct lorsqu’il possédait encore des jambes. Soit il faut croître rapidement. A ce titre, on retrouve donc les précédents concurrents au MIP (encore faut-il confirmer parceque B.Simmons par exemple n’est pas vraiment le joueur le plus demandé au monde), les révélations soudaines en pleine lumière des PO (Nocioni, Wells…), les participants au AllStar game, concours de dunk... et bien plus souvent des rookies ou même des prospects qui ont la faculté de permettre d’envisager toute sortes de rêves même s’ils sont très loin d’en avoir accompli la moitié.
Autrement dit, lorsqu’on est un joueur qui a assuré petit à petit plutôt sur le tard, qui évolue dans l’ombre d’autre joueur de son équipe et qui de plus ne montre aucuns signes distinctifs, aura très peu de chances d’être remarqué par le public.

Si certains, au profil très proche de Maggette ont eut cette chance notamment parcequ’ils ont eut le bénéfice d’accéder aux finales ou parceque le leader a flanché et qu’ils en sont devenu (R.Jefferson, J.Howard, C.Butler, …), lui n’a pas percé aux yeux du grand public. Il faut dire que ce dernier cumule puisqu’il a fait presque toute sa carrière aux Clippers. Dans l’ombre de Brand, leader d’une franchise elle-même dans l’ombre des réputés Lakers, ajoutons à cela le fait que Maggette n’a pas la « chance » de présenter les caractéristiques de la « star » de la balle orange :
Maggette est l’ailier NBA classique par définition. Méga athlétique, ce dernier faisait du saut (triple et en longueur) avant de s’adonner au basket. Issu d’une fac prestigieuse (Duke) il fera une carrière universitaire bien mais sans plus. Déjà le début de l’anonymat… Allure commune avec un bandeau et une barbe façon RNB, mensurations bateaux (1,98m pour 102,1kg), profil banal d’un joueur athlétique ayant assez de technique pour scorer et d’énergie pour défendre, même son âge (29ans) est dans le ventre mou des critères standards.
Donc à la base, il n’a déjà rien de particulier. Il n’a pas ce petit truc qui aide à s’identifier. Un joueur dingo façon Artest ou très sage façon Grant Hill. Ce côté undersized façon Nate Robinson ou over, façon Yi. Cette présence en topten ou en alldefensive team… etc … Mais surtout, il lui a manqué l’aspect « exposition » comme dit précédemment. La 1ere responsable étant son équipe. Vous en connaissez vous des fans des Clippers ? Et encore plus sur la duré vu le passé médiocrement mauvais de la franchise. CQFD


Mais tout de même !

Comment celui qui a surpis les connaisseurs en maintenant à flot (tant que Kaman n'était pas à l'infirmerie) ce qui devait être la pire saison LAC en l’absence de Brand et qui confirme son potentiel en 2008/2009 au sein d’une nouvelle franchise malgré une concurrence presque absurde, peut-il encore être ignoré ? Comment un joueur à l'âge d'or, affichant 22pts 6rebs et 3pds à 46% à sa sortie de 2007/2008, présent des 2 côtés du terrain et débordant d’énergie peut-être snobé à ce point ? Comment un agent libre qui, dans la réalité, intéressait les Spurs comme les Warriors peut devenir inintéressant en LV ?
1ère réponse bête : Son rating ! Avec un 81 digne d’un Maggette d’il y a 2/3ans alors que ses homologues (Jefferson, Howard, C.Butler…) ont minimum 2pts de plus, Corey est plutôt assimilé à un Deng ou un Gay, joueurs portant encore des couches dans des équipes qu’ils ne parviennent pas à porter plus loin que les bas-fond des tableaux. Les responsables des patchs de MAJ seraient-ils aussi à jour que Hoopshype pour ses commentaires (voir Abdur-Rahim par exemple où ils ont fini par mettre les verbes au passé mais ils étaient encore conjugués au présent avant son annonce de retraite) ?
2ème réponse : L’absence de notoriété. En passant de 17 à 22pts pour un temps de jeu équivalent et une réussite semblable (en amélioration à 3pts tout de même), en gagnant 3pts à l’efficiency, en passant de cet ailier physique au jeu un peu unidimensionnel voir trp centré sur soi et porté vers l’assaut, à un joueur complet des 2 côtés du terrain, et bien Maggette est surtout passé … inaperçu !
Il ne lui reste que peu d’options pour être reconnu : Participer aux topten puis déménager dans une franchise pourrie ou au contraire, qui ira en finale. Reste l’option de rajeunir mais la potion est toujours en cours de test malgré les succès appréciables de Ron Artest (mais l’effet semble se dissoudre), S.O’Neal (les effets secondaires sont monstrueux), Jerome James (peut être la meilleure équation) ou encore JR Smith, R.Davis, Sean Williams, Milicic (on a aussi des doutes concernant OJ Mayo). Encore que si l’on suit ce qui suit, avec l’aide du portefeuille et du carnet d’adresse tout aussi bien rempli de Cuban, on a une chance de redorer son blason :


Le contre-exemple !

Prenons 2 joueurs issus de la même équipe, X et Y
Ces 3 dernières saisons, X, 28ans affiche 20pts 6,5reb 4,5pds et 2int à 46% pour 2,8bp
Ces 3 dernières saisons (il ne joue pas cette saison donc depuis 2005/06, exercice de sa révélation au grand public), Y, 27ans, affiche lui 25,7pts 4rebs 5,5pds et 2int pour 40% et 3,5bp
Sachant qu’en tant que leader, X a emmené l’équipe x2 en Post-saison sans l’aide de Y. Que dans la même position de leader Y l’a fait aussi 2 fois mais avec l’aide de X ! Que les résultats en post-saison ont été les mêmes. Mais que Y est dernièrement bien plus souvent en costard qu’en tenue de sport.
Qui prenez-vous pour votre équipe ? Qui a le meilleur rating ?

Maintenant si on vous dit qu’en cliquant sur le lien du site de l’équipe, on tombe sur une 1ère page mettant en vente le maillot de Y. Que lors des oppositions de post-saison face aux Cavs, les journaux mettaient les faciès de James et de Y face à face alors même que Y ne jouait que 6ème homme. Que Y a un blog et touche à tout ce qui fait un bon basketX (jeu vidéo dont il assure aussi une couverture, internet…). Enfin que sportivement, Y a fait un (seul ^^) coup d’éclat alors que X monte en régime depuis tout temps.
Qui prenez-vous au final ? Qui a le meilleur rating à un sport qu’il ne pratique plus que sur un clavier ?

Réponse = 83 pour X et 88 pour Y

Enfin,
Que pour et selon Y, la vie semble avoir été sans pitié car on lui demandait de prouver ce qu'il vaut et que sans ça il ne jouerait pas alors qu'il savait qu'il était supérieur aux autres.
Que pour et selon X, la vie est un cadeau du ciel car très heureux de se retrouver au AllStarGame alors qu'il vient d'un quartier ganguerrisé en passant par la case prison.


Corey, Mark va t’acheter une boite de communication et tu vas cracher sur les autres à coup de blogs ; tu verras tu en ressortira meilleur (fallait bein que je tape un peu sur Arenas dans mon propre journal non ?)

Triste NBA parfois…


Dernière édition par iabus le Mar 5 Mai - 17:18, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyJeu 22 Jan - 17:03

PETIT TOUR DE LA PROPRIETE
Bienvenu dans le monde merveilleux de Dallas



Il était une fois une ville de ploucs finis au milieu d’un Etat de ploucs en bas d’un pays de ploucs. Ces lieux n’ont jamais brillé sinon par la bêtise de ses habitants, les plus grands d’entre eux étant tout simplement les plus bêtes. Et pourtant, dans ce lieu historiquement creux, il existait 3 équipes de basket parmi les plus grandes du monde.

Voici l’histoire de l’une des 3 petites franchises et du grand méchant Stern.
La première, la meilleur mais aussi la plus pauvre se trouvait dans un endroit infesté de mexicains et de tapas. Elle fit mieux que de résister au championnat, elle l’emporta à plusieurs reprises. Pour arriver à cela, elle fit preuve de patience et se concentra sur l’essentiel avant tout.
La 2ème, la plus fashion, avait décidé de jeter son dévolu sur une star très admirée à ChinaCountry. Elle prenait tout ce qui passait à sa portée et avait de la valeur. Individuellement, son équipe était peut être la meilleure mais collectivement, si tous les bras arrivaient à tenir les murs, le souffle de la NBA les empêchèrent d’avancer. La dernière recrue plus proche du loup que du petit cochon ne semblait pas y changer grand-chose.
Et voici la 3ème et dernière. C’était la plus riche de toutes grâce à son propriétaire généreux. Le soucis c’est que son trop plein de confiance en lui ne lui permettait pas de prendre les devants mais juste d’équilibrer le tout à coup de billets à fin de faire acte de présence l’été avec plus ou moins de réussite. Cependant, le souffle de Stern allait prendre une autre ampleur et bientôt la facilité de se réfugier derrière l’arbre à billet n’était plus possible.


Faisons donc le tour de cette gentille demeure et faites connaissance avec tous ses habitants.

Tout d’abord le lieu du drame : Regardez comme c’est beauooooooo
DALLAS WARERICKS Dallas-skyline
On dirait une construction en duplo de mon fils (2ans).

Le propriétaire des lieux, un certain Cuban qui est bien US je vous « rassure »
DALLAS WARERICKS Lgfp2087+who-shot-jr-jr-ewing-from-dallas-poster
on le voit ici dans ses plus beaux effets personnels !

La ferme a bien changé depuis l’arrivée de iabus
DALLAS WARERICKS Tortue-geniale-1
On ne trouve plus trop les mêmes animaux mais certaines choses sont tout de mêmes restées en place.

Ainsi on peut toujours admirer la montagne du Mont Dampier et quelque chose me dit qu’elle ne bougera plus (peut être le prix du terrain ?)
DALLAS WARERICKS Montagne Solide et habituée aux raquettes de par son climat
DALLAS WARERICKS I_raquette
cette dernière permet à la ferme de s’abriter lorsque des mastodontes ou autres pénétrateurs désirent s’installer au cœur de la ville.

Dans l’entrée des habitations de la ferme des Mavs, on peut trouver ça
DALLAS WARERICKS P1014350
Un magnifique biblot portant le nom de SeanWilliams. Très peu utilisé, il décor notre habitat avec élégance mais il risque tout de même de finir à la benne.

En fixant attentivement le haut des arbres, on peut admirer un jeune Batum national
DALLAS WARERICKS Normal_nimetn2
Appelé Nicolas, ce style de ouistiti très agile, apprend très vite et sait déjà faire pas mal de choses. Le problème reste son physique ingrat qui allié à des qualités athlétiques indéniables l’a déjà emmené faire un tour à l’infirmerie.

Viens ensuite l’animal préféré du staff, il faut dire qu’on le remarque de loin
DALLAS WARERICKS Girafe
Cette girafe a été nommée Chris Bosh. Elle est mobile, a de l’envergure et son long cou lui permet de toujours trouver un accès à ce qu’elle convoite.

Un peu plus loin sur la colline, se trouve notre Marsupilami au teint Warrickien baptisé Hakim par notre soigneur
DALLAS WARERICKS Kangourou
Plus petit que Chris, ce dernier compense par son énergie et une détente hors du commun qui nous offrent un grand spectacle de temps à autre lorsque notre girafe adorée se fatigue.

Mais la ferme des Mavericks renferme encore bien des trésors. Comme notre athlétique et mal aimé jaguar Maggette
DALLAS WARERICKS Sebastienlevrot112
qui malheureusement tire un peu la langue depuis son arrivée dans le Texas même si lui au moins n’a pas eut besoin de l’intervention du vétérinaire.

Et si on regarde dans le ciel on peut apercevoir notre Bibby à queue noire et à ailes marrons que l’on reconnaît entre mille grâce à une coupe des plus ridicules façon fin 80’s
DALLAS WARERICKS Jacana.a.crete.pain.1g
plus petit que notre girafe, sa vision aérienne cumulée à sa précision et à son expérience en font le co-leader de nos animaux.

Il ya aussi le Cardinal roux à col bleu
DALLAS WARERICKS Orang-outan
Ce dernier ne triche jamais et heureusement d’ailleurs puisqu’avec un Cardinal de cette espèce à 200% on obtient même pas un demi œuf de girafe Boshienne.

Sinon, plus bas dans la plaine, on peut aussi contempler notre machine agricole ultra sophistiquée la « AlThorntonator » qui évoluait dans le même cirque que Maggette l’an passé
DALLAS WARERICKS Machine-agricole-3
Des options à gogo dont un mode surveillance et une batterie increvable lorsque le module attaque est enclenché. Un de nos pensionnaires préférés qui devrait atteindre le stade supérieur assez vite
DALLAS WARERICKS Terminator-4-12
à condition qu’il reste parmi nous.

A noter qu’afin de se distraire un peu et d’éliminer les animaux indésirables lors de passages d’autres zoos en ville, iabus s’est muni d’une artillerie de précision aussi capable de carnages à bout portant
DALLAS WARERICKS Fass90_lunette
un super joujou de marque Webster avec chargeur Martell incorporé.

Enfin, dans le but d’animer perpétuellement les animaux, nous avons ajouté ce petit insecte qui continuera à les titiller lorsque notre MikeB sera au repos
DALLAS WARERICKS Puce
Encore un peu petite, cette puce savante du nom de Law s’agite encore un peu pour rien mais vu de loin ça donne l’impression qu’il initie du mouvement quand même.

Il ne nous reste quasiment plus qu’à présenter notre plus fidèle compagnon, notre garde nuit, notre chien à tout faire et même notre meneur contre toute attente Antoine Wright
DALLAS WARERICKS Chien-tres-moche1
S’il ne fait pas l’unanimité chez les plus jeunes par son style « épuré » il reste un partenaire fiable et obéissant.

Bien évidemment, il faut que notre fermier iabus puisse rendre visite à tous ses amis. Pour cela, il utilise un BrookLopez à 2 cylindres en V
DALLAS WARERICKS Bapteme-4x4-Nissan-ou-Mitsubishi
Robuste, puissant et maniable, ce tout terrain est encore en rodage mais il démontre déjà beaucoup de qualités.

Pour finir, n’oublions pas notre mascotte, un magnifique missile USA que nous avons rempli par ce qu’on appelle un Randolph, modèle Shavlik pour le notre mais on aurait aussi bien pu y mettre un Zach si on le possédait (et s’il rentrait dedans)
DALLAS WARERICKS Agm65_maverick3
en espérant que cette technologie nous permettra de l’envoyer le plus loin possible de chez nous…


A suivre dès que la ménagerie sera réparée et que nous pourrons accueillir tous les animaux de notre choix ou presque.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyVen 30 Jan - 20:20

« ES LA FIESTA DEL SLOBAR ! »
S’écria Cuban de retour de voyage ! La légende dit que iabus répondit « et oui, il ne reste que Dampier (merci pour son contrat) les autres sont dans ton c** et je suis sûr qu'il y a encore de la place ! » Que d’enseignements à retirer pour les GM en herbe, de cet échange profond et subtile !



Avec iabus aux commandes de Dallas, on se croirait à WallStreet. 4 trades et demi (le dernier, presque réalisé à 3 comptant presque pour 2, je me comprend ^^) et ce n’est pas moins de 53 joueurs qui ont opéré un mouvement !!! Dallas en a vu partir 27 joueurs dont certains n’ont même pas eut le temps d’enfiler la tunique et a récupéré évidemment 26 autres joueurs. Le dernier en date qui engageait 3 équipes a vu un échange de 25 bonhommes. Mais où va-t-il comme ça ? Demandons lui parceque vu de l’extérieur on a du mal.

Le but de vos premières manipulations consistait en une réduction singulière du 2ème budget le plus imposant de la ligue juste derrière la grosse pomme. L’équipe a donc très logiquement perdue de la compétitivité. Cependant, malgré la malédiction de l’infirmerie, l’équipe semblait à peu près équilibrée et reposait sur le trio Bibby-Maggette-Bosh qui semblait tenir la route. Donc quel était le but de ce « trade-chamboule-tout » ?
En effet, l’équipe affichait un certain niveau permettant de viser les PO et même peut être un second tour dès l’an prochain avec l’éclosion de Lopez, Thornton et Webster voir Batum et Warrick. Mais le jeu de quille qui a eut lieu dès le début de saison et qui a eut pour conséquence de nous faire basculer en pole position du bas de tableau m’a poussé à aller jusqu’au bout de la logique que j’avais commencé à suivre avec le trade visant à ramener Bosh à la maison quitte à me séparer de Howard et Camby.
C'est-à-dire, de continuer à préparer le futur quitte à saborder un petit peu plus cette saison de malheur dont nous possédons toujours le tour de draft (heureusement ^^). A ce titre, l’objectif premier était de trouver un extérieur avec de l’avenir et avec assez d’envergure pour accompagner Bosh. C’est chose faite avec la venue de Devin Harris qui, avec Chris, forme une base autour de laquelle construire.

Ok donc le prochain trade de 15vs15 joueurs aura pour but de ?
Il n’y aura plus de trade exceptionnel comme ça pu être le cas à moins que l’on m’en propose un que l’on ne peut se permettre de refuser mais ce ne sera plus à mon initiative. Du moins j’en serais étonné à l’heure qu’il est. Si j’ai fait de telles propositions c’est surtout parceque notre marge et les salaires des joueurs que je souhaitais trader pour obtenir un joueur ayant de fortes chances d’être au « prix rookie », limitaient les choix. Il était pénible d’équilibrer.
D’autre part, je suis venu tardivement dans cette ligue pour reprendre une équipe assez loin de mon cœur. Pas mal d’équipes avaient déjà leur « base » et il était donc plus difficile de trouver des trades assez conséquents pour faire avancer notre affaire. On y arrive finalement que maintenant mais tout ne s’arrête pas à la fin de cette saison. Et puis je n’ai jamais été aussi adulé par les fans des autres franchises ! En effet, je reçois fréquemment des courriers de remerciement en provenance de Los Angeles (Clipppers) ou de Portland. Et vu les prestations que réalisait Bibby ou celles de Thornton et Maggette réunis, je pense que nous devrions gagner le cœur des fans de Cleveland et New-Jersey ^^

L’équipe est donc « prête » ? Quel est le bilan de ces 1er trades ?
Pas encore prête non mais on s’en rapproche méchamment. Nous comptons encore réaliser un trade (2 maxi) cette saison ou la prochaine si ça ne le fait pas puis nous ne procéderons qu’à des ajustements ou nous traderons si une belle occasion se présente.
En gros ce dernier trade nous a bien renforcé sur le banc au poste de meneur et nous a affaibli sur le poste d’AR titulaire. C’est donc assez logiquement que nous souhaiterions inverser cette tendance. Quant à l’ensemble des manips, elles ont permis de s’asseoir sur une base solide : Les postes de pivot et meneur sont ok et se seront les plus difficiles à satisfaire. Nous possédons un duo de choc pour l’avenir dont un intérieur dominant ce qui est assez rare. Enfin, nous possédons surtout des joueurs majoritairement appréciés et c’est là l’essentiel. Ainsi, il serait surprenant de voir partir Lopez, Bosh, Harris, Batum et Dooling. Dampier, Warrick, Simmons, Chandler et Duhon sont aussi invités à rester dans l’absolu mais s’il devient nécessaire de les trader, nous nous y plierons sans sourciller car il sera plus dur d’obtenir ce que l’on veut avec Swift, Ager et Jeffries même si personnellement j’apprécie Jared.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMar 3 Fév - 19:44

La saison 2009 commence … enfin … Presque !
Présentation générale


Comme déjà dit, iabus, arrivée à la bourre et chargé de diminuer une masse salariale de 18 millions de dollars et cela sans se faire avoir comme un certain Pitou (qui dit avoir le plus gros budget alors que les tableaux de HoopsHype ne mettent les Cavs qu’en 3ème position derrière New-York et Dallas !? ce n’est plus anguille sous roche mais hippopotame sous caillou là !), avait pris du temps pour assembler un roster plaisant. Mais tout de même !
Ce n’est qu’à compter du 25 novembre que le roster, proche d’être le « final » a été constitué ; soit celui qui ne subira que des ajustements mais dont l’ossature convient de toute façon.

Passons d’abords les troupes en revue de ce qui devrait être les principaux traits des Mavs pour les quelques années à venir avant de rentrer dans une logique de faux-cons avec des analyses match par match ponctuées de numéros exceptionnels.


Présentation des pièces une par une :

Brook Lopez : Un corps et un jeu de vrai 5. Déjà bon rebondeur et contreur pour son âge, il possède 1 ou 2 moves simples et efficaces sous le panneau. Brook Lopez est l’un des pivots sur lesquels il faudra compter à l’avenir. La bonne nouvelle c’est que contrairement à un Greg Oden, il n’a pas attendu pour briller et réalise l’une des meilleures saison rookie depuis très longtemps pour un vrai pivot. La présence d’un killer comme Bosh ne fera qu’accélérer sa mise en route en le déchargeant de trop lourdes responsabilités.

Chris Bosh : N’est plus à présenter. Probablement le meilleur avenir des USA au poste 4, il est le co-leader de l’équipe avec Harris et sera rudement mis à contribution le temps que ses petits camarades se développent un peu plus. Cependant, avec Lopez, Dampier et Warrick, ce dernier n’aura jamais été aussi bien entouré dans la peinture, la petite collaboration avec Jermaine se résumant plus ou moins par un échec devant la santé fragile de l’ex Pacer.

Wilson Chandler : Ailier US classique avec un gros potentiel athlétique mais une adresse et des fondamentaux discutables, Wilson ne rechigne pas à l’effort. Excellent sur transition, bagarreur en défense et dans la peinture, son apport sur jeu posé est moindre. Cependant nous ne comptons pas lui demander plus que ce qu’il sait faire et il lui sera demandé de s’investir selon les besoins avec une priorité donnée à la défense. Etre régulier sera déjà une belle progression pour ce jeune sophomore.

Devin Harris : L’autre go-to-player de l’équipe. Harris a brillé dès que les Nets lui ont donné les clés de la maison. Transformé en franchise-player, il assumait parfaitement ce rôle qu’on lui demandera de tenir ici aussi. Décalé en AR pour le moment afin de profiter au mieux de ses qualités de scoreur, il aura plus ou moins les clés de l’attaque et devra fournir les mêmes efforts qu’avant de l’autre côté du terrain.

Chris Duhon : Lui aussi est un joueur qui a explosé lorsqu’on lui a ouvert la porte. Défense, adresse extérieur et gestion font de lui un meneur classique très performant. Contrairement aux Knicks et D’Antoni, nous ne lui demanderons pas de forcer son jeu offensif. Il devra surtout se concentrer sur la distribution et ne pas forcer sur les munitions tout en conservant cet esprit guerrier qui en faisait l’un des meilleurs défenseurs au poste.

Erick Dampier : C’est notre assurance tout risque. Défense, rebond et une boite à baffe toujours à portée pour le Mav le plus solide de l’effectif en font quelqu’un de très pratique pour tenir la baraque face aux mastodontes de la grande ligue. Sans grande richesse offensive, il ne ratera pas un panier facile pour autant. Il est notre assurance tout risque en cas de blessure et devant la jeunesse du titulaire.

Hakim Warrick : Encore un joueur en pleine progression. Evoluant jusque là en dent de scie en ayant marqué le coup après une arrivée assez fracassante de par un jeu trop stéréotypé car trop appuyé sur ses qualités athlétiques hors-normes, ce dernier a enfin trouvé la régularité et un engagement sans faille en tant que 6ème homme des Grizzlies. Essentiellement Back-up de Bosh, son rôle sera forcément moindre mais au moins nous pourrons reposer Chris sans trop de craintes, Warrick étant présent et intensif des 2 côtés du terrain et impérial dans les airs.

Bobby Simmons : C’est l’ailier lambda qui ne renversera pas le cours d’un match mais qui ne vous fera pas perdre non plus. Adroit derrière la ligne, assez puissant au sol, Simmons sait un peu tout faire sur un terrain. En ce qui nous concerne, ce seront surtout ses qualités défensives et son adresse extérieur qui seront mis à contribution.

Nicolas Batum : Aujourd’hui assez proche de Simmons, Batum a un bien meilleur potentiel et un physqieu plus filiforme. Moins puissant mais plus agile et rapide, nous l’apprécions aussi pour son côté all-around même si pour son année rookie, à l’instar de Bobby, nous lui demanderons de se consacrer à la défense et de planter ses bandrilles en profitant de la présence de nos intérieurs. Après cela c’est son côté coéquipier modèle qui sera mis en avant car s’il est trop tôt pour s’en servir comme point foward, c’est un aspect que nous conservons en tête si Harris finissait pas prendre le volant.

Kenyon Dooling : Voici un bonhomme qui ne paye pas de mine et, passé ses qualités athlétiques tout de même relevées, il est presque étonnant qu’il soit aussi reconnu en NBA. En effet, dans une ligue aimant les jeux de rôle, Kenyon n’est vraiment pas un spécialiste. Il n’a même pas de véritable poste rattaché. Défense, altruisme et énergie restent ses apports majeurs. Sauf trade, il occupera principalement le poste 1 en relais derrière Duhon. Mais à terme (l’an prochain ou après échange), il sera utilisé sur le poste 2 où il aidera à fluidifier et accélérer le jeu.

Stromile Swift : Après les bonnes surprises, voici une petite déception. Swift est loin d’être bon pour le placard mais il n’est pas non plus devenu l’intimidateur qu’on était en droit d’attendre après ses années Rockets. S’il n’a jamais pu être une valeur sûre par manque de constance, il reste un bon défenseur qu’il ne faut pas non plus laisser seul à l’intérieur. En tout cas pour un 12e homme, ya pas à se plaindre, on peut même parler de luxe.

Jared Jeffries : Il est avec Larry Hugues l’autre joueur a avoir été le plus sur-estimé de la bonne époque des Wizards. Maintenant, si NY qui voyait en lui un titulaire incontestable, lui a versé le salaire qui allait avec, Jeffries n’est pas une chèvre pour autant. Avec son physique maigre mais interminable, il continue de représenter une menace défensive. Joueur intelligent et obéissant, sa polyvalence sur les 2 postes d’ailier fera qu’il sera employé dans le même registre que Warrick avec un accent sur la défense.

Maurice Ager : Joueur n’apportant pas grand-chose et non inclus dans les plans futurs de la franchise, il n’a pas été encore coupé de par la poisse qui ne veut pas quitter Dallas non plus quant aux blessures. Il semble avoir un profil assez classique d’un arrière rapide et explosif façon Shanon Brown, (un autre candidat au Injury List ou bout de banc) mais avec Harris et Dooling, nous n’avons pas l’utilité d’attendre une progression toute relative de ce cireur de banc.


Maintenant que nous avons fait connaissance avec les protagonistes, voyons un peu ce que le jeu nous propose :


En attaque :

Principalement axée sur Harris et Bosh, Lopez apportera son aide sur jeu posé et Chandler sur transition pendant que Duhon devra s’appliquer à distribuer les cartouches quelque soit le type de jeu pratiqué sans gâcher les siennes à longue distance. Le banc lui, n’apportera pas beaucoup de garanties en attaque. Pas de réel 6ème homme excepté Warrick qui ne sera pas utilisé comme tel, ce sera surtout l’adresse de Batum et Simmons qui ajoutera un plus.

A l’intérieur :
C’est là où nous sommes le mieux. Bosh possède un arsenal complet, Lopez est déjà assez efficace à moins de 3m et a même déjà réalisé quelques cartons. Il ne lui reste plus qu’à être plus régulier et à étoffer un peu la diversité de ses moves toujours dans cet esprit de vrai pivot travaillant majoritairement sous l’arceau, ce qui viendra avec le temps. Derrière, Dampier connaît le métier même s’il ne faut pas lui demander le shoot de la gagne. Quant à Warrick, il est sûrement le bencher le plus prolifique question scoring.
Le principal défaut est le manque de profondeur. Swift ayant un profil mi-Dampier mi-Warrick, nous ne possédons pas d’intérieur fuyant capable d’écarter la défense en se montrant menaçant à 3pts par exemple. Mais cet ajustement n’est pas le plus pressé.

A l’extérieur :
On reste en dessous de la moyenne tout de même. Harris, dangereux de partout est l’option No1 qui va devenir de moins en moins arrêtable au fur et à mesure que son shoot va gagner en fiabilité (avec le temps). Duhon sera lui attendu dans un rôle de meneur classique, c'est-à-dire en pénétration et à 3pts mais on ne lui demandera pas de faire la différence. Vient ensuite Chandler qui devrait profiter du boost de nos 2 meneurs compilés sur jeu rapide mais qui deviendra moins efficace une fois le repli adverse effectué même s’il peut venir se frotter un peu à l’intérieur. Dooling à la mène aura aussi l’occasion de briller sur les moments de course mais après il devra surtout se concentrer sur la distribution. Il n’a jamais été très brillant devant de toute façon. Reste Batum et Simmons dont on appréciera l’adresse et dont la technique et les qualités physiques leur permettront d’ajouter quelques perles au collier mais ils sont plus des options que des priorités même si Nicolas devrait êre appelé à participer plus activement à l’attaque dans le futur.


En défense :

C’est un secteur où l’on est tout de même plus à l’aise qu’en attaque. Si la jeunesse de l’effectif et l’absence d’expérience commune reste un handicap, l’absence de passoire et la volonté de chacun à ne pas lâcher le steak forment de bons ingrédient pour une base défensive. C’est ensuite un cercle vicieux où comme pour les Celtics, cette base servira de ciment et ne fera que resserrer les hommes autour du même objectif. A noter que nous pourrons facilement switcher, nos joueurs pouvant quasiment tous défendre sur 2 voir 3 positions. Encore du travail collectif en prespective.

A l’intérieur :
C’est déjà très bon. Evidemment, un pivot rookie, ne peut prétendre contenir les expérimentés de façon sûre mais il a au moins le bénéfice de s’imposer et marquer son territoire. Reste plus qu’à retreindre celui des autres d’autant. Derrière c’est du méga solide avec Dampier et Swift. A ses côtés, Bosh ne compte pas parmi les laxistes du domaine et Warrick est déjà une terreur dans les airs même s’il a parfois du mal au sol. Si on ajoute Jeffries et Chandler qui peuvent venir donner un coup de main et jouer les électrons libres en flottant autour des murailles Lopez et Dampier, la défense intérieure des Mavs a d’ors et déjà une gueule sympathique.

A l’extérieur :
Ce n’est pas si mal non plus voir même excellent sur le poste de meneur avec 3 des meilleurs sangsues dans l’effectif. Sur le poste 3, Chandler manque un peu d’expérience et de vice mais il a au moins le mérite de s’engager sans compter et ne laissera donc aucun adversaire se la couler douce. Derrière lui c’est encore plus solide avec Simmons et Batum qui offriront jeunesse ou expérience, envergure ou largeur, puissance ou agilité selon les besoins. En fait le plus gros souci est sur le poste 2 où sorti de Dooling qui y évoluera peu pour le moment, nous ne possédons pas de défenseur type. Harris et Batum contribueront à empêcher les AR adverses de tourner en rond mais si ces derniers sont très physiques, il sera plus difficile de les contenir pour le moment.


Ailleurs :

Organisation :
Alors qu’à la base nous avions décidé de remettre les clés à Harris, le choix de le décaler en 2 afin qu’il se consacre au scoring, fait que l’organisation du jeu balle en main revient principalement à Duhon. Si ce dernier est déjà très performant sur transition et disposera du soutien nécessaire sur ce type de jeu, sur demi terrain, plus souvent pratiqué en PO, il devra faire preuve de lucidité et alimenter intelligemment nos 2 cadors comme nos seconds couteaux.
Meilleur gestionnaire que Harris, Duhon n’est pas un créateur pour autant ce qui veux dire qu’il faudra pas mal de mouvements, de jeu sans ballon et que les systèmes soient bien appliqués si l’on veut profiter de toutes nos capacités. Si le profil de nos joueurs assez mobiles si prête bien, cela demande tout de même un collectif rôdé quant au timing et à l’efficacité des écrans, à la précision et l’entente sur la circulation de balle… etc…

Avenir/expérience :
Ces 2 mots vont rarement ensemble et nous ne dérogeons pas à la règle. Si l’équipe devrait exploser sous peu (ce qui est la moindre des récompenses vu le prix payé pour récupérer ces jeunes), l’expérience est vraiment un souci. Seul Dampier et Harris ont connu les finales et encore, Harris n’avait pas les mêmes attributions donc c’est difficilement comparable avec sa situation d’aujourd’hui.
Pire encore, seuls Duhon et Dooling ont déjà passé le 1er tour et après le leader du temps de jeu en post saison est Bobby Simmons avec 158mn pour sa seule participation en 2005/06… Autant dire qu’une aventure aux joutes d’été est attendue au plus vite afin de former cette jeunesse qui n’a de plus, encore aucun vécu en commun.

Etat esprit :
Il est assez bon. Pas de joueurs ingérable, une bonne dose d’altruisme et de défense, des leaders qui assument et une organisation qui ne force la nature de personne. Les défaites étaient prévues au programme vu l’opération rajeunissement qui a suivi l’opération dégraissage. Mais il est vrai que l’on ne s’attendait pas à des débuts aussi catastrophiques. La récente blessure de Bosh qui a peut être été trop confronté aux gros bras pendant l’absence de Lopez ne risuqe pas d’arranger les choses. Et puis on n’attend toujours Batum aussi (9 semaines !) afin de connaître (peut être) notre premier match au complet et commencer enfin la saison en connaissance de cause.


Mouvements :

L’ossature est là. Il reste une option à déterminer mais plus rien ne presse :
Soit Duhon sera le distributeur attendu et avec le progrès des uns et des autres, l’attaque deviendra aussi prometteuse que la défense avec du temps pour l’une comme pour l’autre. A ce moment, notre principale tâche sera essentiellement de trouver un back-up correct de Duhon histoire de remettre Dooling en AR et présenter un banc avec une physionomie assez proche de celles des titulaires.
Soit nous peinons de trop pour être vraiment menaçant en l’état et nous replacerons Harris à la mène en essayant de trouver une 3ème menace majeure. Il s’agira vraisemblablement d’un combo-guard qui pourra suppléer Devin à la mène et renforcer le côté speed du backcourt pour des phases sur jeu rapide ; mais qui sera surtout en mesure de se créer ses propres occasions donné que si Harris semble être un excellent leader, propre à mettre en place le jeu le plus à même de faire briller l’équipe, il n’est pas non plus vrai créateur tournant à 8/10passes mais un meneur scoreur plus proche d’un Parker.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMer 4 Fév - 19:14

Analyse des 3 premiers matchs du mois de décembre.


3 rencontres.
2 à l'extérieur (Denver et new-Orleans) pour un bilan équilibré de 1 victoire et 1 défaite et 1 défaite à domicile face à Golden-States.
A noter, les absences de Nicolas Batum et Chris Bosh.


Le 1er décembre 2008 :

https://servimg.com/view/11275661/42
DALLAS WARERICKS 43

Homme du match : JR Smith.
Quand on prend 25 shoots dans un match défensive mieux vaut pas se planter. Avec 27pts et 6 passes décisives (plus que Paul) pour une seule balle perdue, c'est bien lui le héro des Hornets.

Ce qui fait plaisir : Le collectif et Harris
Les intérieurs titulaires ayant été un peu légers au rebond (surtout Lopez qui déçoit globalement à ce niveau comme aux contres), c'est toute l'équipe qui s'est mise au boulot.
Niveau utilisation des tickets shoots c'est pareil, personne ne s'est emballé et les plus aptes à scorer ont été globalement bien servis. D'ailleurs les 29pts de Harris avec 7passesD sans perte de balle, font plaisir. C'est encourageant pour la suite.

Ce qui gène : L'adresse générale et les passes décissives.
Et plus particulièrement le total ratage de Duhon qui finit à 0/12. On ne lui en tiendra pas rigueur car la panne arrive à tout le monde et puis il a très bien tenu CP3.
Quant aux passes, si Duhon et Harris ont répondu présents (7 chacun) c'est surtout le banc (1 seul passe) qui a manqué de lien. Un peu plus de création aurait peut être permis de meilleures situations et donc un meilleur pourcentage.

La surprise : Les tenttives à 3pts de NO
Les Hornets ont balancé 35 missiles longue distance soit 43% des tentatives soit presqu'1 tir sur 2 !

Au final,
Pas vraiment de secteur incriminé dans cette défaite. La défense a été solide et c'est déjà une bonne chose. Sans Bosh l'équipe s'est battue jusqu'au bout et la difféence entre les 17pions de Paul et les 2 de Duhon forment la majeure partie de l'écart final.


Le 3 décembre 2008 :

DALLAS WARERICKS 40
DALLAS WARERICKS 41

Homme du match : Devin Harris
S'il n'a pas trop quitté le parquet (46mn) il a au moins le mérite de faire un match complet (29pts 10passesD 4rebs, 3int 1cont 1bp). Wilson Chandler avec 22pts et 11rebs ne démérite pas non plus.

Ce qui fait plaisir : Le collectif
La répartition des shoots est bonne (3 joueurs au dessu des 20pts), le nombre de passes décisives aussi. La défense a répondu présente puisque seuls les Nuggets les plus balèzes en attaque (Carmelo, B.Davis et Aldridge) ont pu shooter à 50%. Le banc des Nuggets s'est fait ramassé.

Ce qui gène : Le banc sur certains points et et la présence au rebond de Lopez
L'une des valeurs les plus sures de Brook Lopez était sa solidité et sa présence dans la peinture. S'il a aujourd'hui répondu plus que présent au contre (4), niveau rebond c'est toujours pas ça (4 autant que de contres ^^)
Quant au banc, s'il a été présent au rebond lui (8) et correct au scoring (14) il se fait trop discret dans les autres catégories statistiques (2 passes 0 contres et 0 interceptions).


La surprise : Le 6ème home de Denver s'appelle Jason Hart ^^ Avec 7pts (contre 2 pour le suivant) il est de loin de meilleur scoreur du banc des Nuggets a vocation peut être trop défensive mis à part Kleiza très discret ce jour là.


Au final,
Une grosse satisfaction de gagner un match vu la récolte du mois de novembre mais sans Bosh et Batum et sans réelle maitrise sinon les belles prestations de Harris et Chandler, cela ne peux constituer un match référence non plus. On retiendra tout de même la défense qui commence à s'affirmer


Le 4 décembre 2008 :

DALLAS WARERICKS 44
DALLAS WARERICKS 45

Homme du match : Mario Chalmers
Ca aurait pu être le gros Zbo mais Chalmers a eut le mérite de faire tourner l'équipe de façon intellgente en plus d'être présent dans toutes les catégories stats avec un beau score en points (24 dont 3/3 en tir primé), passes (6) et rebonds (7).

Ce qui fait plaisir : Le collectif avec mention à Harris et Dooling.
Tout le monde a encore une fois respecté son rôle et ça, ça fait vraiment plaisir. Seul regret, ne pas avoir tenté plus à 3pts car avec 11pts de différence au final et 58,3% à 7/12, il y avait moyen d'insister dessus.
Devin a encore fait un match plein avec 24pts et 9passes. En relais Dooling explose avec 18pts et 5passes en 19mn et chaque remplaçant ayant joué plus de 2mn apporte sa pierre à l'édifice. Mais ça n'a pas suffit.
On ne se félicitera pas spécialement pour l'adresse générale de 51,3% vu la qualité de la défense des warriors.

Ce qui gène : La défense et les intérieurs titulaires.
La clé était de faire chuter le pourcentage de ces bouffeurs de cuir et là c'est mission raté. Lopez et Warrick ont été impuissants en défense et ont fini avec 5 fautes chacun pendant que Chandler se retrouve une fois encore le meilleur rebondeur. Ajouté au 3/10 de Warrick au shoot, il va falloir être plus efficace dans la peinture.

La surprise : La défense proposé par Randolph et Beasley (sisi c'est pas une blague).
A noter aussi le petit 1/1 de Dooling à 3pts qui entretient sa pole position dans ce domaine ^^


Au final,
Comme par le passé, un match face à Golden States tient pour beaucoup à leur réussite. ces derniers dégainant à tout va, si ça rentre il est dur de suivre, s'ils ratent c'est victoire quasi assurée. Là c'est rentré et c'est donc vers la défense qu'on se tournera question responsabilités ^^ Sorti de ce constat "facile", c'est tout de même le 3ème match à 14 balles perdues. Ce n'est pas si grave mais lorsque les warriors tentent 10 de plus sans grosse défense, c'est gênant.


CONCLUSION : IL N'Y AURA PLUS D'ANALYSE TANT QUE SERVING.COM CONTINUERA A ME CASSER LES NOIX ! (pourquoi ça ne s'affiche pas ?)
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyDim 8 Mar - 16:54

UN HIVER CHAUD


4 petites victoires et 16 défaites le 8 décembre 2008. Dallas, joujou du milliardaire imbu de lui même, Cuban est victime de la nouvelle règle des salary cap, du sort avec les blessures et bien sur de l'arrivée du GM iabus. Il faut dire que les Mavs, superbe équipe sur le papier a connu un enchainement de galères sans nom.
Repris par un GM sans affection particulière pur cette franchise et ses joueurs, Kidd execepté, ils vont devoir, dans un premier temps, dégraisser l'effectif. Un 1er trade est réalisé, envoyant Dirk sur la planète Clippers et ramenant 14M à la franchise.

AF/P - Dirk Nowitzki - 18,077M$/2(+1) 91
AS/AR-Gerald Green - 0, 826M$/1 73
AR/MJ - Jason Terry - 9,075M$/4 83
P/P -DeSagana Diop - 5,585M$/4(+1) 70
VS
AS / AR - C MAGUETTE 81 (1979)$8,275,000 / 5ans
P / AF - M CAMBY 83 (1974) 8M/ 2ans
AS / AF - A THORNTON 75 (1983) 1.776M/ 2ans (+2)
P / AF - B SKINNER 69 (1976) 1.262M/ 1an

La saison commence tranquillement puis la poupée vaudou se réveile. Bibby se blesse et Dallas commence à sombrer. Pendant ce temps, iabus, toujours à la recherche de ou des hommes qui donneront une vraie direction à la franchise, continue ses tractations. C'est avant que Portland ne commence à prendre goût à son nouvel intérieur, juste Blazer sur le papier, que le trade opère :

Marcus CAMBY 83 P/AF 8 000 000 $/2ans
Josh HOWARD 86 AS 9 945 000 $/2ans(+1)
Rashad McCANTS 70 AR 2 620 000 $/1an(+1)
Brian SKINNER 69 AF/P 1 262 000 $/1an
James SINGLETON 66 AF/AS 797 000 $/1an
VS
P (/AF) - Chris Bosh - 89 - 14.410M$/2 (+1)
AS/AR - Martell Webster - 73 - 3.771M$/1
AS/AR - Nicolas Batum - 71 - 1.040M$/2 (+3)
AF/AS - Hakim Warrick - 72 - 2.119M$/1 (+1)
AF/P - Shavlik Randolph - 61 - 0.826M$/1

Pas d'argent récolté et une perte de niveau dans l'absolu mais il y a ce franchise player en ville et les négociations vont enfin avoir un fil rouge. Les compléments sont de qualité et certains resteront (Batum, Warrick, Dampier). Mais le duo d'intérieur Lopez-Bosh des plus prometteurs à besoin d'un homme d'impact à l'extérieur.
Les blessures, elles, ne s'arrêtent pas, Batum, décalé meneur remplaçant en l'absence de Bibby, finit par le rejoindre à l'infirmerie. Puis Bibby revient et c'est la dernière ligne droite. Un trade à 3 avec New-Jersey qui recherhait un intérieur de qualité pour épauler Carter et un remplaçant digne pour Harris, et Cleveland, toujours à l'affût d'un échange propre à améliorer le soutien pour James.

Dallas envoie à Cleveland :
Al THORNTON 75 AS/AF 1 776 000 $/2ans(+2) - 2,03m 99,8kg (1983)
Corey MAGGETTE 81 AS 8 275 000 $/5ans - 1,98m 102,1kg (1979)
Acie LAW 71 MJ 2 071 000 $/2ans(+2) - 1,91m 91,6kg (1985)
Brian CARDINAL 67 AS/AF 6 300 000 $/2ans - 2,03m 108,9kg (1977)
Shavlik RANDOLPH 61 AF 826 000 $/1an - 2,08m 108,9kg (1983)

Dallas envoie à new-Jersey :
Mike BIBBY 81 MJ 15 225 000 $/1an - 1,88m 88,5kg (1978)
Martell WEBSTER 73 AR/AS 3 771 000 $/1an - 2,01m 106,6kg (1986)
Antoine WRIGHT 69 AS/AR 1 910 000 $/2ans - 2,01m 97,5kg (1984)
Shawne WILLIAMS 68 AS 1 572 000 $/2ans - 2,06m 102,1kg (1986)

New-Jersey envoie à Dallas :
MJ/AR - D. Harris-80- $7,800/1 (1983)
AS/AF. W. Chandler 75 / 1,173M / 2 ( 2)
MJ/AR- K.Dooling -73 $3,300/3 (1980)
AS/AR-B.Simmons-71 $9,920M/2 (1980)
P/AF- S .Swift - 70 -$6,200/1 (1979)
AS/AF. Jarred Jeffries 65 / 6,049M / 2 ( 1)
AR/AS - M. Ager-57-$1,042/1 (1984)

On y est ! Bosh est entouré par Harris et Lopez, les figures du renouveau des Nets, Duhon qui soulagera Harris à la mène et apportera sa défense et son adresse (sans excès please) ainsi que Chandler superbe athlète plein de bonnes intentions et capable dejouer sur 3 postes même si pas encore fini techniquement. Sur le banc, Dampier-Warrick-Jeffries-Simmons-Batum-Dooling apportent ce qu'il faut même si un meneur ne serait pas de trop. Swift étant à priori partant par manque de moyen et Ager pa r manque d'intérêt, un rookie et un FA ou/et un trade viseront à renforcer le poste de meneur back-up et un intérieur pour plus de profondeur.
En attendant, Bosh se blesse, le collectif devra encore attendre, Batum n'est toujours pas revenu de toute façon. L'équipe au budget et roster débordant de moyen est dernière aux côtés des "ex"démunis Memphis. Nous sommes le 8 décembre... cry ^^


A une défaite du 8e de la conférence Ouest, ce 2 février 2009 nous affichons 22 victoires et 25 défaites à la 10e place de l'Ouest. Une situation proche de celle vécue lors de l'arrivée de Kidd à Dallas l'an passé. Mais Terry-Howard-Dirk sont loins maintenant et pour un budget raisonable, l'équipe s'est offerte un avenir prometteur malgré une perte directe de rating cette saison.
Les joueurs ne sont pas devenus invincibles pour autant (Lopez, Simmons, Warrick, Ager, Chandler ont pliés) et l'équipe n'a peut être disputé qu'une petite dizaine de matchs au complet mais elle se renforce tout les jours sans qu'il n'y ait de modifications particulière sinon un ré-équilibrage des postes pour palier aux absences. La saison très mouvementée et mal embarquée se solidifie enfin et le +18° réalisé avec cet éffectif et un calendrier plutôt favorable laisse entrevoir une fin d'hiver chaude au Texas

faux ruhm
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyLun 27 Avr - 17:46

WHERE AMAZING HAPPENS ?



Quelle épopée que le déroulement de la saison des Dallas Mavericks cette saison !

non

Il a d'abord fallu retrouver un budget sain le plus vite possible vu que je n'apprécie les négociations que dans un but sportif. L'objectif 1er était donc de gagner le plus de sous en perdant le moins de rating. Mission accomplie avec succès mais en possédant des Maggette, Bibby et Howard, certes talentueux mais d'une part sous-cotés affectivement auprès des GM et d'autre part, ne formant pas un tout assez sexy pour emballer, les fans et le GM pour les années à venir.
Peu importe les désirs personnels, la saison commence et pas si mal mais pas longtemps : 1ère blessure (Bibby). S'en suit la 2ème étape, la plus difficile, la constitution d'une base alléchante. A ce titre, la venue de Bosh puis de Harris est un vrai plaisir. Mais ils sont accompagnés d'autres joueurs sous-notés (seule manière de recruter des profils plaisant sans trop perdre sur le moyen et long terme) et la liste des blessés ne cesse de s'allonger : Toute l'équipe actuelle sans exception y passera (sauf Duhon et Jeffries de mémoire), 2 des derniers épargnés, Dampier et Dooling tomberont à leur tour en avril.
Résultat des courses, Dallas pointe au fond du trou et l'équipe n'a pas réalisé un seul match au complet. On commence à jeter un oeil aux prospects de 2009 mais on n'abandonne pas et surtout on évite de sacrifier la saison. Le but est bien sur de jouer le jeu à fond mais aussi de savoir un peu de quoi il retourne avec ce que l'on a réalisé. Soit "que nous faudra-t-il l'an prochain" sachant que l'on aura eut janvier, février, mars et avril pour savoir ce que donnait l'équipe ?
C'est donc dans cet état d'esprit de test grandeur nature que l'on aborde la fin de saison après un dernier coup d'oeil dans le viseur qui nous renvoie à une 10ème place au bilan jugé trop critique pour une expérience estivale supplémentaire.

Mais que neni !

oui

Mécontent d'une assez bonne série que j'imaginais me repousser loin d'un TDD inétressant, je décide de re-regarder le classement pour voir où on en est et là surprise. Denver ne brille plus autant. Utah s'effrite peu à peu et les Lakers que l'on pensait perdus tellement son GM leur a jeté la pierre sont en fait les mieux placés dans la course avec les Nuggets et ... nous même !
Depuis, c'est un vrai plaisir car compte tenu des blessures et des trades de départ, on sait que ces Mavs sont capable d'aller en PO ! S'ils y vont ce sera une expérience formidable en vu des prochaines saisons étant donné l'âge et le potentiel de ces gugus. S'ils se ratent, ils auront tout de même démontré un joli potentiel très prometteur même s'il leur manquera cette expérience collective unique que seuls Chandler, Lopez et Batum ne connaissent pas.
La recette de ce relatif succès hormis la chance bien sûr (à commencer par un docteur magique qui a soigné un Bosh mal en point après une "chutte") est des plus simples : Une stabilité dans l'effectif qui avec toutes les blessures, ont probabement entraîné une assez bonne entente. Ajoutons, pour les dernières rencontres de la saison, la blessure "providentielle" de Dooling qui nous a poussé à rapatrier un Duhon bien trop gourmant sur le banc et le 5 majeur brille de pleins feux !
La contrepartie, pas des moindres, est l'affaiblissement du banc. Dans l'absolu, ce dernier est toujours aussi talentueux et complet mais sa cohésion avec les titulaires est devenue plus que discutable :
Duhon, le 6ème homme désigné de par son rating évolue tout simplement derrière le meneur vedette Harris. Warrick le 6ème homme désigné de par son profil évolue lui derrière l'autre star de l'équipe, Bosh. En plus du problème de 6ème homme, se pose celui des ailes. Avec Bosh, Chandler, Warrick, Batum, Simmons, Jeffries et Swift, ils sont 7 sur 12 à se partager 2 postes. Jeffries et Swift sont donc recalés au fond du banc, ce qui, si PO il y a, laisse une rotation à 5 joueurs tout à fait correcte mais on déplorera l'affectation de Batum sur un rôle de back-up AR qui était le plus à même de jouer les 6ème hommes, fonction peu séduisante avec un frenchie ultra soft, réservé et comme tous les rookies non arrogants, en manque de confiance.
Enfin on se consolera en se disant qu'en dépit de titulaires assez verts, les remplaçants apportent l'expérience et la complémentarité désirée sur certains postes (Dampier et Simmons en P et AS notamment). Et puis, le plus important tout de même, le 5 majeur est plus performant avec les clés de la maison dans les mains d'Harris et un compagnon (Dooling) plus à même de le soutenir face à la puissance de certains AR ou MJ bien que la carte vitesse restera notre meilleure chance de prendre le dessus.

Et après ?

hihi OU ZzZ

Nous ne manquerons pas de revenir sur ce qui pourrait être notre 1ère opposition (et probablement dernière pour cette saison ^^) en post-saison. A l'heure actuel, ce sont les Spurs qui se profilent, soit une équipe très intéressante car elle s'appuie aussi sur un intérieur dominant et un meneur-scoreur. Mais après c'est assez différent :
Jeu reposant sur 3 piliers (avec un AR fort mais une petite faiblesse à l'intérieur), rythme plus posé et expérience.
Jeu plutôt rythmé, beaucoup d'athlétisme et passé les 2 leaders, une force plutôt présente sur les postes AS et P.
Mais tout cela est une autre histoire qui n'aura peut être même pas lieu.


Dernière édition par iabus le Mer 6 Mai - 18:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyMer 6 Mai - 18:37

Passons aux choses sérieuses !


Les fans sont fous, le staff autant ! Après une saison qui n'a pas manqué de nous rappeler que nous évoluons dans un "western", nous voici dans l'allée principale, prêts à dégainer, la main tremblante comme un Shaq à moins d'un mètre d'un arceau tout neuf ou un Stojakovic seul derrière la ligne à 3 points ! Le dernier match, sans gros enjeu (heureusement) sinon la 7èe place devant Denver, a été perdu. La défense des Clippers nous a étouffé et seul Bosh a réussi à produire une partition digne de son standing. Mais peu importe car l'essentiel était là : Pas de blessure !

Concernant cette saison, nous avons vraiment de quoi nous réjouir. La mission financière est réussie. La mission constitution d’une base solide pour les années futures aussi. Reste la mission « obtention de résultats » qui était plutôt mal partie et qui, au final, est aussi une réussite ! En effet, en partant avec l’un des meilleurs rosters (sur le papier) de la ligue, les fans, pas vraiment soucieux du portefeuille du proprio vu le prix des places, auraient mal supporté un arrêt du basket au printemps. Nous avons donc non seulement la joie de leur offrir un minimum de 2 rencontres de post-saison dans l’antre des Mavs mais surtout et avant tout, nous avons, via le périple traversé, la confirmation que l’équipe possède un réel potentiel immédiat tout en ayant conscience que le plus beau reste à venir.
Le bilan individuel est maigre : Harris fait parti des joueurs ayant le plus gros temps de jeu et figure parmi les meilleurs distributeurs de caviar de la ligue alors qu’il a fréquemment évolué sur le poste 2. Bosh fait lui une apparition dans les meilleurs au rebond offensif puis… plus rien du tout. A noter la petite récompense obtenue par Brook Lopez qui est nommé dans le 2ème cinq des rookies. M’enfin, vu qu’il se fait distancé par ses principaux rivaux Marc Gasol, Greg Oden et Jason Thompson, on appréciera que modestement cette nomination (Love n’entrant pas en compétition puisqu’il a été limité de par la rotation des Nets).
Le bilan collectif de 39 victoires et 43 défaites est donc d’autant plus appréciable car dans le détail, le partage des tâches a déjà accompli un joli bout de chemin au vu de l’expérience individuelle et collective de ces Mavs. De même la multitude des blessures qui aurait pu mettre un gros coup au moral des troupes et finir de semer la zizanie dans une organisation toute nouvelle et en constante évolution, semble finalement avoir joué en leur faveur puisque les valides ont du et su redoubler d’effort, et les changements de schémas en cours de route auront permis à chacun d’endosser des rôles et responsabilités variés qui, au bout du compte, ont accéléré l’assimilation et la compréhension des attributions de chacun.
La complicité sort donc renforcée de la phase régulière et cette 1ère expérience de Play-Offs tant attendue devrait constituer un vécu unique engendrant un capital confiance très riche pour le futur.

Au sujet de ce 1er tour de Play-Offs. Même si notre bilan est assez bon si l’on considère le très mauvais départ, même si notre entente a finalement eut plus des 2/3 de la saison pour se former, nous faisons face aux 1er de la saison ! Et ces derniers ne sont pas des invités surprise mais bel et bien la meilleure équipe de la décennie. L’objectif est assez simple, faire durer le plaisir le plus longtemps possible afin d’acquérir le maximum d’expérience, tenter de leur donner des sueurs froides et pourquoi pas créer la surprise (un petit croche patte sur Duncan et ça change la donne ^^).
Leurs armes et prétentions n’ont pas vraiment évolué. Leur GM a tout simplement conservé la même équipe que celle qui avait été montée par son prédécesseur juste avant de quitter ses fonctions. Seul différence : Le départ de l’argentin Oberto et l’arrivée du jeune Amir Johnson. En gros, les Spurs perdent un pivot vétéran pour récupérer un pti jeune ailier fort. Bref un changement qui apporte un peu de profondeur de banc mais qui n’influe pas vraiment sur le niveau de jeu des Texans. Nous allons donc rencontrer une équipe basée sur un trio de talent, une organisation réglée comme du papier à musique et une défense solide. Leur style est un jeu posé qui s’appuie très fortement à l’intérieur sur la présence de Duncan et les pénétrations de Parker. On retrouve des shooteurs en périphérie (Mason, Finley, Bonner, Bowen…) propres à ouvrir le jeu pour les 1vs1 des stars et pour bénéficier de positions de shoot ouvertes suite au travail de ces mêmes stars. Et enfin vient s’ajouter un électron libre, Ginobili, sachant à peu près tout faire et ayant carte blanche, notamment dans les moments chauds.
La tactique est simple : Il faut secouer les vieux ! Brûler les anciens ! Dépasser nos aînés ! Noyer les croûtons ! Enterrer les fossiles ! Barrer les doyens ! Etouffer les vétérans en créant la canicule suffisante pour éliminer les seniors !
En effet, il y a un domaine où nous sommes supérieurs c’est les qualités physiques et athlétiques. Parceque San Antonio n’a pas progressé à ce niveau et que cela a toujours été leur petit talon d’Achille, eux qui ont toujours priorisé le neurone sur le muscle. Et parceque de notre côté, nous présentons une équipe jeune présentant un avantage comme précité, sur chaque poste. En ne prenant que les 10 principaux protagonistes (ce qui est déjà une rotation impotante en PO) nous avons donc un : Avantage puissance et envergure sur le poste 5 (Lopez-Dampier vs Thomas-Bonner) ; avantage mobilité et athlétisme avec un léger manque de puissance (nécessaire au jeu rapide) sur le poste 4 (Bosh-Warrick vs Duncan-Johnson) ; avantage puissance, mobilité et athlétisme sur le poste 3 (Chandler-Simmons vs Finley-Bowen) ; avantage athlétisme sur le poste 2 (Batum-Dooling vs Ginobili-Mason) ; seul le poste 1 nous parait à peu près équivalent à ce niveau (Harris-Duhon vs Parker-Hill).
Cela signifie qu’il faudra essayer d’accélérer le rythme dès que possible. Il faudra engendrer nombre de mouvements avec et sans ballon sur demi-terrain et, si possible, mettre le pus souvent possible Duncan à contribution en défense en jouant sur son vis à vis. Une sortie, sur blessure ou/et sur fautes commises ou/et pour repos, du big fondamental serait vraiment une opportunité de victoire. Car derrière lui, c’est le désert total dans la raquette des Spurs. Les Thomas, Johnson et Bonner ont beau être complémentaires entre eux et faire le boulot aux côtés de TD, livrés à eux-mêmes, on n’imagine très vite l’impuissance des Spurs face à une raquette de bon niveau et les choix tactiques limités de Pop.
Harris étant l’un des meneurs qui a donné le plus de fil à retordre à Parker, le niveau de notre raquette étant tel que Duncan ne pourra se balader à souhait, ce que nous craignons le plus c’est El Manu. Pour sa faculté, en fin de matchs serrés, à être clutch bien sûr mais aussi parceque dans cette opposition, il est le plus à même à désorganiser notre jeune escouade et permettre ainsi à ses coéquipiers de retrouver le bon sens de la marche. Pour le contrer, nous commencerons par lui opposer Kenyon Dooling dans la continuité des automatismes de fin de saison. S’il manque de taille pour gêner le shoot de l’argentin, sa mobilité et ses qualités athlétiques sont les plus à même de le fatiguer en défense et de l’empêcher de se mouvoir aisément en attaque. En cas d’échec avéré de cette option, nous passerons au plan B qui constitue à faire entrer le jeune Batum dans le 5 majeur, avec pour mission prioritaire, ne pas lâcher le slip de l’argentin.

GO MAVS GO ! pour la 1ère fois que je souhaite la « mort » des éperons du Texas !
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptyVen 29 Mai - 13:19

2009-2010 ON CRAQUE LES SLIPS !



Les choses sérieuses sont (déjà) passées. Post saison, négociations et draft, soient les faits majeurs de l’été standard d’un GM. Et le constat est assez réjouissant puisque la quasi-totalité des souhaits texans ont été réalisés.


Les PlayOffs


De loin le meilleur moment de la NBA, c’est lors de ces séries parfois cultes, que l’on distingue les champignons réels des toxiques. C’est à ce moment que l’on réalise vraiment la différence entre ce qu’on estime et ce qui est. La profondeur d’un banc, la qualité d’une défense, … mais surtout la solidité du collectif, le potentiel des stars dans l’adversité et la capacité de l’équipe à se sublimer.
Pour revenir à nos poulains, pas de réelles surprises. Une élimination assez sèche de 4 défaites en faveur des Spurs contre 1 seule victoire à domicile. 4 victoires assez aisées, une équipe de San Antonio ultra organisée et très solide en défense. Si dans l’absolu, nous ne manquions pas particulièrement de talent, l’inexpérience était criante et le rouleau SAS nous a aplati sans peine.
Tout cela reste une très bonne expérience pour la suite mais nous n’y avons pas appris grand-chose de nouveau malheureusement sinon ce que nous avions déjà réalisé, à savoir avant tout, un manque de complémentarité entre le banc et les titulaires, et l’absence d’un bon AR capable d’aider pleinement Harris à l’extérieur sans lui marcher dessus ou trop forcer comme a pu le faire Duhon en saison régulière.


Les négociations


La priorité était évidemment de conserver Harris. Co-leader avec l’intérieur Chris Bosh, ils forment un duo corrosif à souhait des 2 côtés du terrain. Non seulement leurs atouts, âge… s’assemblent parfaitement mais de plus ils sont l’armature de l’équipe à laquelle l’écrasante majorité y est solidement imbriquée.
2ème cas d’intérêt notable : Hakim Warrick. Nous avions le choix entre le re-signer à prix raisonnable ou actionner son option. Les négociations ayant porté leur fruit, il sera donc de l’aventure pour 4 saisons supplémentaires dans le Texas. Cela nous permet de conserver une profondeur de banc intéressante à l’intérieur, élément non négligeable puisqu’avec la draft, nous pourrons démarrer la saison 2009/10 sans impératif de recrutement mais juste le soucis de s’améliorer sportivement si l’occasion de fait sentir.
Maurice Ager a lui été assez rapidement libéré. Réserviste en cas de pépins, son potentiel suspect comparé à une liste de FA appréciable ne nous a pas encouragé à lui lâcher un morceau de notre marge maigrichonne.
Stromile Swift lui, a été brièvement démarché pour rempiler 1an ou 2 mais sans succès. Intérieur sur la phase descendante, il restait une option intéressante en doublure de doublure mais refusant le minimum salariale, l’apport d’un 12e homme de son standing à un prix relativement élevé perdait énormément de son intérêt dans un contexte de salary cap obligatoire.


La draft


En étant qualifié pour les PO, nous ne nous attendions pas vraiment à une affaire en or. L’objectif était simple : Soit l’on avait le nez creux et l’on mettait la main sur un oiseau rare à ce stade, quelque soit le poste et le profil, quitte à le trader ou à procéder à quelques changements pour plus de cohésion, soit l’on recherchait tout simplement ce qui collait au mieux pour la suite, c'est-à-dire un meneur ou un arrière. Résultat plus que satisfaisant : On a un arrière pouvant évoluer meneur, et c’est un joueur extrêmement apprécié puisqu’il s’agit du français Nando De Colo.


Demain


Comme dit précédemment, nous sommes globalement satisfait de l’effectif présenté à l’orée de cette nouvelle campagne et notre préoccupation principale sera de trouver l’AR qui nous permettra de boucler un 5 majeur solide, complet et cohérent. Ce joueur devra être adroit à 3pts et présenter le minimum syndical en défense. Maintenant, s’il peut posséder un QI basket élevé et le sens de la passe ce sera encore plus plaisant.
Pour faire venir cet énergumène, nous ne présentons pas une collection de monnaies d’échange mais une base qui est le meneur Chris Duhon. Aujourd’hui, il est peut être notre meilleur bencher alors qu’il n’y a pas beaucoup de temps de jeu à récupérer derrière Harris. De plus avec le recrutement de De Colo, nous avons pu asseoir la notre backcourt avec un trio de combo guard Harris-Dooling-De Colo qui nous permet de nous séparer d’un meneur classique de son standing sans nécessité de colmater derrière.
Autre point, relevant plus du détail, l’acquisition probable, d’un intérieur réserviste ou peut être l’échange de Simmons ou Jeffries avec un intérieur de poids. Car si le banc est assez complet pour faire face à différents pépins physiques qui ne nous ont pas épargné la saison dernière, en cas de blessure sur le poste de pivot, nous serions dans l’obligation de passer l’un de nos AF au poste 5 et ces derniers sont tous au format allumette.


Au final, après avoir rectifié une masse salariale indigne, après avoir trouvé les cadres capables de nous porter loin et longtemps, et après avoir presque réussi à les encadrer de façon efficace, nous avons réussi à rester parmi les prétendants aux Play-Offs.
Maintenant, tous les fans attendent l'album de la confirmation, réputé le plus difficile. En effet, une nouvelle élimination sans appel au 1er tour ne sera plus une réussite cette saison et les Mavs se doivent de passer un cap. Mais si la mission s'avère difficile pour les protagonistes de 1er rang que sont les joueurs, au niveau du management c'est beaucoup plus cool. Trouver la seule pièce manquante sans contraintes démesurées et recruter un ou deux totos propres à nous prévenir de la malédiction de l’infirmerie en l’espace de toute une saison ne semble pas le challenge le plus effroyable. Cependant le résultat obtenu n’en sera que plus sévèrement jugé.
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MessageSujet: Re: DALLAS WARERICKS   DALLAS WARERICKS EmptySam 22 Aoû - 2:38

C’est Noël, une petite pause bienvenue pour faire le point.
3 départs enregistrés et 4 cadeaux livrés ; voyons ce qu’il y a dedans.




Tout d’abord, toutes nos excuses auprès des fans pour l’absence de nouvelles depuis l’article faisant le point avant le début des hostilités. La bonne marche des publications devrait reprendre même s’il est vrai que l’agitation en coulisse est bien moindre que par le passé. Les bases de nos recherches ayant été explicité lors du numéro précédent, nous voici aujourd’hui, question effectifs, avec 2 trades réalisées qui viennent peut être sceller les mouvements de personnel cette saison même si l’un des nouveaux venus (le meneur Marcus Banks) ne trouvera que rarement une place dans le roster et n’est donc pas dans la meilleure position.
Une fois encore, rien de décoiffant et même peut être un peu de perte dans l’absolu mais le tout sonne juste et les forces sont presque optimisées si l’on excepte l’IL.


Les trades

1er trade réalisé, un échange sommaire entre les back-up AF, sous l’initiative du GM de Denver. Hakim Warrick, re-signé cet été, fait donc ses valises et c’est Jianlian Yi qui s’installe en ville.

L’opération financière n’est pas vraiment un gain mais celui réalisé sur la 1ère saison suffit à nous repasser dans le vert correctement et aborder la suite avec sérénité.
Sportivement nous récupérons un bien meilleur potentiel avec un joueur montrant, dès sa saison rookie, un niveau technique déjà supérieur à ce que n’afficherait jamais Warrick. Mais la tendance s’inverse athlétiquement et nous avons aussi perdu un joueur effectif immédiatement et parfaitement intégré jusqu’alors.
A terme, l’option Yi reste tout de même un renfort certain. Il apporte une complémentarité des plus intéressantes avec notamment la possibilité de s’écarter pour laisser les Bosh ou Lopez travailler à l’intérieur mais aussi une option pour un match-up sur l’aile de par son rapport taille/mobilité/technique.


2e trade, un échange entre plusieurs équipe avec la participation d’un certain CAPTAIN (ça alors ^^) mais dont l’affaire de Dallas se résume à un 2 vs 3 avec les Wolves : Ainsi Chris Duhon et Bobby Simmons rejoignent Minnesota pendant que Raja Bell, Tony Battie et Marcus Banks font le chemin inverse.

Résultat des courses question sioux : Un peu moins de marge de disponible l’été prochain mais re-signer Bell et Duhon ne demandera pas autant. Banks, bloque lui par contre 4,6M sur 2ans alors qu’il fait actuellement triplon dans l’effectif.
Côté potentiel, c’est pas vraiment la fête non plus dans l’absolu. On perd 2 joueurs dans la force de l’âge, titulaires dans leurs équipes réelles et ne présentant pas de carences particulières, Duhon montrant même une progression certaine ces dernières années. En fait, un peu à l’instar de la venue de Yi, c’est plus au niveau collectif que ce trade est gagnant pour nous :
Duhon était un back-up de luxe qui de plus, se disputait des minutes avec le temps de jeu de Dooling qui est déjà une doublure de 1er choix. Dooling sera maintenant le seul back-up à la mène (Banks allant donc sur la liste des inactifs). Le différentiel de potentiel avec Duhon est déplacé sur le poste 2 titulaire avec la valeur sûre Raja Bell dont les attributs collent parfaitement avec les attentes : Il apporte tout ce dont le 5 majeur et l’équipe en général, a besoin. De l’expérience, une adresse longue distance très fiable, une capacité à jouer jeu rapide ou posé, et enfin c’est un coéquipier modèle, les Mavs possédant déjà leur lot de talent individuel. Cerise sur le gâteau, outre ne pas rendre perméable une ligne défensive bien tenue, il vient carrément renforcer ce secteur avec un CV en la matière, garanti de chez Darty. De plus, sa capacité à défendre sur les postes 1, 2 ou 3, conjugué à la polyvalence d’Harris, de Chandler et de Bosh dans ce domaine, offre une flexibilité défensive à toute épreuve.
L’autre partie du trade c’est le départ de Bobby Simmons, ailier all-around puissant et adroit. Mais avec le retour de Batum sur le banc, son retrait se fait sans douleur. De plus, la venue de Battie, nous offre la profondeur de banc nécessaire à l’intérieur pour palier à toute blessure et choix tactiques. Cela replace aussi Jeffries un peu plus sur l’aile où il sera en mesure d’apporter une présence complémentaire à celle de Batum, physiquement et niveau expérience.


D’autres trades ?

A priori les choses devraient se stabiliser encore plus qu’elles ne l’étaient. La seule volonté de mouvement serait de voir Marcus Banks partir. Superbe joueur de 1vs1 et scoreur avéré, il pourrait jouer les incendiaires passagers mais nous avons déjà ce qu’il faut sur son poste et surtout nous ne souhaitons pas inclure dans nos plans, des joueurs dont la capacité à digérer un book, ou que leur cerveau réalise qu’il y a 9 autres joueurs sur le parquet, soit sérieusement mise en doute.



Qu’en est-il des Mavs maintenant ?

Globalement, nous sommes très satisfaits de leur manière de jouer. La guigne nous a épargné jusqu’ici question santé et nous pensons réellement que les quelques ajustements réalisés vont renforcer l’équipe. Avec la venue de Bell et de Battie recevons des forces là où le besoin se faisait sentir et nous présentons donc enfin la complémentarité espérée.

Nous avions une rotation principalement constituée de 5 back-up pour chacun des 5 postes. Derrière, les compléments Jeffries et De colo faisaient respectivement doublons avec Warrick et Dooling. Bref un banc dont la composition ne présentait pas quantités de variantes tactiques. Nous passons maintenant à une rotation majeur composé de 4 joueurs dont 2 majeurs puis de 3 compléments bien plus « complémentaires » ^^
Les deux « 6ème homme » sont Batum et Yi. Ils se partagent les postes 2/3 pour le premier et 4/3 pour le second. Derrière, viennent Dampier qui reste le back-up de Lopez si Bosh ne se glisse pas en 5 pour des choix tactiques du coach, et Dooling qui est lui le back-up de Devin Harris à la mène mais qui pourra aussi effectuer de courts séjours sur le poste 2. S’en suit le trio Nando De Colo, Jared Jeffries et Tony Battie pouvant à eux 3, recouvrir l’ensemble des postes et offrant chacun des alternatives tactiques aux 4 premiers joueurs de la rotation.
Le coach dispose ainsi de différents 5 majeurs sur son banc. Du plus défensif avec Dampier-Battie-Jeffries-Batum-Dooling au mode run&gun avec Battie-Yi-Batum-De Colo-Dooling, cela compilé avec la palette de fondamentaux de notre duo Lopez-Bosh et la mobilité et l’adresse de nos extérieurs, il y a vraiment de quoi multiplier les menaces. Ajoutons le fait qu’il ne retourne que de joueurs possédant une bonne éthique de travail, un esprit collectif et le sens du devoir, notamment en défense où passé Jianlian voir De Colo, nous présentons de sérieux clients tous les étages.

Nous espérons qu’avec ce roster plein d’avenir, le coach aura tout le loisir de jouer les caméléons et tirer sur les bonnes ficelles pour obtenir la quintessence de l’effectif. Le début de saison est plutôt encourageant mais nous nous doutons que tout ne sera pas aisé et qu’il faudra encore compter sur notre allié, le temps (jusque là ^^) afin de voir éclore les futurs caïds que devraient être Lopez, Chandler et Batum sans oublier l’autre MVP français, De Colo, et le spécimen rare qu’est Yi, le temps que les 2 s’adaptent un peu mieux. Avec la bouteille accumulée entre temps par les 2 leaders Harris et Bosh et les quelques mouvements de personnels effectués entre temps, plus particulièrement dans 2ans et la fin des contrats pesants, Dallas devrait commencer à faire frissonner. Elle me fait déjà bien assez kiffé et pourtant vu l’amour que j’avais pur cette franchise et l’effectif de départ, c’était pas gagné^^
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